Au Nord, c'était les corons , les hommes des mineurs de fond ...
Ces artistes, avec leur 250 œuvres, ont rendu hommage au bassin minier. Parmi les fresques, certains hommages aux mineurs ont particulièrement ému et séduit le public mais cet héritage artistique est menacé .
Les maisons, inhabitées, sont promises à la démolition dans le cadre d’un vaste projet de requalification. C'est un quartier ouvrier rempli de souvenirs qui va disparaitre et avec lui, ceux de tous ces hommes et ces femmes qui ont fait de ce lieu, un village dans la ville si vivant comme le furent les corons et qui désormais résonnent du silence des absents.
Les images de leur vie se superposent , faite de dureté et parfois de drames mais aussi de solidarité et de convivialité . Peu à peu, les maisons se sont vidées, murées . Seules quelques habitants résistent et resteront dans leur maison des mines jusqu'au bout.
N'ayant pas pu y aller cet été et le temps passant, j'ai attendu début novembre pour me rendre en ce lieu qui me rappelle tant de souvenirs, ceux d'une autre cité minière où vécurent mes grands-parents maternels.
Je ne pensais pas être prise par tant d'émotions en marchant sur ces trottoirs désertés, bordés par ces maisons murées. J'errais dans ce quartier habité de souvenirs en pagaille.
La rue Notre-Dame-de-Lorette vit son dernier automne , j'en étais la témoin. Je ressentais l'histoire de chaque maison unie en une seule, celle de la mine et des mineurs, de toute une région et de son histoire.
C'est la mienne également , celle de la petite fille de mineur que je suis .
Pour sentir et ressentir l'âme et le cœur de tout un pays.
Une page très émouvante et des œuvres magnifiques qui racontent la vie des mineurs... et la chanson de Pierre Bachelet: "Et c'était mon enfance, et elle était heureuse
RépondreSupprimerDans la buée des lessiveuses
Et j'avais des terrils à défaut de montagnes
D'en haut je voyais la campagne
Mon père était "gueule noire" comme l'étaient ses parents
Ma mère avait les cheveux blancs
Ils étaient de la fosse, comme on est d'un pays
Grâce à eux je sais qui je suis"
Etant du nord , un grand merci pour ces œuvres trés émouvantes ...
RépondreSupprimerBon aprés midi et encore merci .
Thérèse
Des fresques saisissantes, en hommage aux mineurs de fond ! L' histoire d'une époque, d'une région, de "gueules noires" qui ont galéré, trimé toute leur vie pour avoir une retraite bien méritée...Au-delà de l'intérêt artistique, il serait choquant, intolérable, que rien ne soit fait pour conserver les rues, les maisons, les mieux illustrées par ces graphes, de manière à ce que les jeunes générations n'oublient pas ces mineurs, qui ont participé au relèvement de la France, après la deuxième guerre mondiale.
RépondreSupprimerUn beau, émouvant, et utile reportage, Véronique !
Quelle émotion à la vue de ces beaux visages qui nous font revivre quelques instants de leur dur métier !
RépondreSupprimerC'est vraiment incompréhensible et choquant que l'on veuille effacer l'âme de ce village alors que tant de générations y ont posé leurs vies, leurs bonheurs, leurs détresses, leurs partages. Je ne comprends plus la marche du monde et je pense à ta tristesse en pensant qu'un grand pan de leur Histoire pourrait disparaître.
Je t'embrasse Véronique.
Bonsoir Véronique.... très bel hommage haut en couleurs, chez moi, plat pays se sont les italiens qui y sont descendus, Borinage et Limbourg... Etre gueule noire pas sans risque, un métier pénible, eh oui Pierre, vos corons aussi... Merci, douce soirée, bises jill
RépondreSupprimerBonjour Véronique,je comprends ton émotion,mon mari est un vrai chti,un vrai tiot,et lorsque nous retournons dans le pas de calais sa langue de tiot ravizo revient,rire,il faut garder ce patrimoine,mon beau père était mineur et une vie en coron comme mon mari,c'est bien ces fresques,plus beau que des murs gris et ça leur rend un bel hommage,j'ai supprimé mon blog,je m'y sentais étrangère et peut-ètre que trouverais une nouvelle plateforme,trouver un endroit ou je m 'épanouirais,je t'écrirais ici et tu peux me répondre ici si tu le souhaites,je t'embrasse.
RépondreSupprimerla chanson ......j'espère que tu vas bien .....gros bisous .....et tout et tout
RépondreSupprimerJe comprends que tu sois fière de ta famille, de ta ville et de tes parents mineurs, courageux et fiers ! Nous venons d'ancêtres qui se sont battus pour vivre ou pour résister !
RépondreSupprimerQue de belles oeuvres, quel dommage de tout démolir ! Tu dois en être très touchée ma chère Véronique !
Je t'embrasse très fort
J'ai un avis partagé
RépondreSupprimerSouvent les tags enlaidissent des façades , il y a oeuvre d'art dans des tags qui sintégrent ou les portraits
Seul cas positif , des beaux tags fait sur pallisades de travaux affreuses , mais c est du temporaire , pas le cas ici
J'aurais compris des dessins au noir de carbone (charbon), il y aurait eu un sens profond , et les impressions au carbone sont durables (l encre de chine est à base de suie récupérée dans des tuyaux de fumée)
peut être que les détracteurs des corons , diront plus tard c est moche
moi les maisons à nu sont plaisantes à voir , et correspondent mieux au souvenir
peut être que faire un monument nouveau , avec ces portraits était mieux , et ils resteront
Mais étant du nord , je connais ces corons , mes grands parents étaient dans une zone minière, et je suis déjà monté sur un terril , ça impressionne plus qu on ne croit (car dans le plat pays)
peut être fallait il plus simplement refaire les peintures de façade , comme si les gens y habitaient encore , redonner l illusion de la vie passée
L'art proposé n est pas mauvais , mais il vallait mieux que d'être lui aussi emmené dans la démolition future , peut être fallait t il sur un mur de béton reproduire ces façades de corons (comme une photo géante)
J adore la chanson "au nord c était les corons" reprise par les supporters du club football de Lens
il y a d 'autres artistes chanteurs qui ont marqué notre nord, dont Raoul de Godewarsvelde , j ai une chanson sur mon blog mais je vais en rajouter
Toute une époque qui s'efface, toute une vie qui s'en va , une vie difficile mais aussi solidaire.....C'est la vie qui se transforme constamment......Ne resteront que des souvenirs......
RépondreSupprimerParce qu’au-delà de la poussière et de la fatigue ce n'est pas un cliché que de dire qu'
RépondreSupprimerIl avait cette force, cette dignité farouche propre aux gens du Nord.
Une lumière obstinée, comme une braise qui refuse de s’éteindre.
Une vie entière, profonde, tissée de gestes simples, de courage silencieux, de sourires qu’on offre malgré tout...
J'ai tant été dans le Nord dans ma jeunesse, tout cela je l'ai ressenti
La solidarité, l’honneur, et cette chaleur humaine qui n'est nulle par ailleurs
J'espère que c'est toujours le cas en 2025 qui bientôt tirera sa révérence
Je te souhaite un bon dimanche @ venir
Rose 🌹
Dans le tourbillon de souvenirs dans ma tête, j'en ai oublié de te dire que ces oeuvres sont magnifiques
SupprimerMerci
Rose 🌹
Bonjour Véronique,merci pour ton email qui m'a fait du bien,voici mon nouveau blog https://mapagedemots.blogspot.com/ je t'embrasse
RépondreSupprimerLa mémoire des lieux... l'Histoire les a fait vibrer et laisse ses traces, les bonheurs, les malheurs, tout s'imprime sur les murs qui murmurent, c'est fort et émouvant tout cela. Ces peintres sont très talentueux, j'espère que l'on éditera un livre de leurs œuvres, c'est peut-être déjà fait. Lumineuse semaine à toi. brigitte
RépondreSupprimerQuand on parle corons, je me retrouve dans le film les ch’tis.
RépondreSupprimerIl y avait une rue entière réhabilitée pour le film.
Je ne me souviens plus de la motivation.
C’était pour séduire Mme Kad Merad ?
La retenir, elle venant du SUD de la France.
Et là, toi tu montres encore plus authentique.
À Lens, et tous ces graphismes.
Je crois comprendre ton émotion, encore plus s’il y a des projets de réhabilitation, mais après destruction. Le côté mineur, les gens du coin, et autres, ont ça dans le sang. Un beau portrait à la lampe frontale, et aussi la dame du mineur, toujours à entretenir, avec son tablier. Faire tout beau, pour le retour de son mari ou fils mineur.
Et oui, cette PUB de Jean Mineur, au cinéma, toujours à tirer dans le 1000.
PFF aussi en émotion, tu nous la fait partager en toute intensité.
Et le film se termine par le sommet d’un terril, certains transformés en pistes de ski d’été, je crois.
À plus. Ami-neur de fond. ✅ Yann
Bonjour,
RépondreSupprimerDe superbes fresques très "vivantes" représentant les gens qui ont vécu là...il faudrait que ces traces de la mémoire des mines soient conservées, au moins en numérique.
apparemment, il y a aussi des "oides" (doigts en verlan) sur ces murs, comme à Saint Nazaire (petit personnages colorés -photos 7 et 9)
Les corons, une très belle chanson.
Bonne soirée
Bonjour Véronique,avant dans les corons,le wc était dehors et pas de salle de bain,j'ai connu celà chez ma belle soeur et un jour la compagnie minière a refait aux normes et wc neuf et salle de bain,c'était toujours dans la cour,et souvenir de son charbon qu elle faisait rentrer,le patois est cultivé aujourd hui mais avant mon mari n'avait pas le droit à l'école de parler en chti,je trouve que c'est bien qu'aujourd hui c'est moins bloqué,je te souhaite une bonne semaine,je t'embrasse.
RépondreSupprimerMerci pour le lien avec une cristallerie du Nord. À Trélon. Je découvre que c’est proche de Chimay. Mes premières frites à la graisse de bœuf. Wil’frites. Il y en aurait sur Strasbourg, quand même plus proche pour moi. Je reviens à la cristallerie, Aimée en signale une chez qui on peut souffler dans la canne. J’aurais bien envie de sentir la force du souffle à déployer. Et on emmène sa production, après le choix des oxydes pour la coloration. Attention, pour le rouge, il faut de l’or. Plus cher ….
RépondreSupprimerPour les mineurs, en Lorraine, il y a la salle des pendus. Charbon salissant, mélangé à la sueur des ouvriers. Et la rue des électriciens, a réussi à être sauvée, je crois.
Vite de la farine pour la tarte au libouli. Que je ne connais pas encore.
À plus. Ami-notier. ✅ yann
j'espère que tu vas bien ....il floconne par ici ...vivement le printemps....gros bisous et bonne soirée
RépondreSupprimerBonsoir Veronique, le froid est là, surement une vague pour chez moi mais ma grande à Lievin dit que du glagla,avant elle faisait les marchés avec son marinet elle avait une paire de bottes du canada pour l hiver, déballer et rester derriére le stand avec une bonne téte,rire, benh elle les appréciait, je te souhaite un bon weekend, je t'embrasse..
RépondreSupprimerCoucou Véronique, pour la new letter benh tant pis,j'ai fais ce blog ici pour garder les liens tissés, avec toi et d'autres ami.es aussi qui n'avaient pas FB ou comme tu le sais j ai mes filles et mes gars😉et je suis heureuse de venir chez toi, et j espere me faire d'autres amies ici aussi a blogger, partager les écrits fait du bien, un gros bisou dimanche, je t'embrasse
RépondreSupprimer♥️ bonne semaine ......tout simplement et merci pour tout ♥️♥️
RépondreSupprimerBonjour Véronique. Superbe, cet dommage que tu rends à ces hommes qui ont trimés dur pour extraire ce charbon au fond de ces trous souvent meurtriers. Ça évoque aussi la très belle chanson de Pierre Bachelet. Je te remercie de ta gentille visite mais aussi pour cette belle page souvenir. Je te souhaite une bonne semaine.
RépondreSupprimer@+++
Merci de m'avoir encore une fois pris par la main pour m'élever. Et me guider vers ces Brigittines la branche française, peut être tarie ou interdite depuis.
RépondreSupprimerMais si tu confectionnes des croix de leur ordre, c'est qu'il y a encore des sources de croyances. Et en finalité protection du foyer et ses habitants. Renouveau de la nature, 1er février, et retour du printemps. Pour ces croix, j'ai vu des idées de matière pour les former. Pailles diverses, entre autres.
En faisant ce billet, j'estimais à zéro, que quelqu'un soit en lien avec leurs traditions. Et bien j'avais tort. Jacqueline a su, mais elle est de Rome, ou pas loin.
On est passé à deux doigts que ce billet n'existât pas .... Mais dans le domaine des occurrences possibles, il y a tant de possibilités que de temps à autres, on touche le gros lot. Et sinon, il reste les choses gourmandes aux noms de Saints.
Vrais Saints, ou appellation commerciales. Cuisinons les traditions.
Bonne semaine à toi. ✅ Yann
Que d'émotions en découvrant ton article...Tes mots bien entendu qui nous parlent de cette région et de tes souvenirs d'enfance, de ces hommes courageux et si dignes qui sont nos ancêtres et travaillaient toute leur vie jusqu'à épuisement. Ces fresques sont toutes magnifiques et en particuliers j'aime les visages tellement expressifs. On a l'impression d'avoir de vraies personnes devant nous qui nous parlent de leur quartier ou de leur condition de vie...Quel bel hommage tu leur fais, et quelle tristesse de savoir que ce quartier sera détruit un jour comme tant d'autres devenus inutiles pour nos vies d'aujourd'hui et qui sont pourtant de véritables musées à ciel ouvert...Merci pour ce partage.
RépondreSupprimerJe t'embrasse fort
Me vient en tête suite à ton mot de « solidarité », les mouvements de grève.
RépondreSupprimerOn me parle de 1948, puis de 1963. On glisse vers l’Angleterre, dates de 1984-1985.
Condamnations, emprisonnements.
Dans ma région autour de Sarreguemines, vers Forbach, gros coup de grisou.
« Ils travaillaient sous la terre, et la terre les a repris ».
Rien que pour ça, les endroits que tu montres, devraient être sanctuarisés.
Un musée du mineur se visite. Et une impressionnante descente en ascenseur, mimée pas des vibrations et une sonorisation. En fait, on reste sur place. Et une visite de la salle des pendus.
Ami- neur de surface. ✅ Yann
Fin d'une vie, d'un monde de travail dur. Hommage leur est rendu par ces peintures et le sort qui attend cette rue est très regrettable . Fort dommage que la municipalité ne s'engage pas dans la sauvegarde de ces lieux de mémoire.
RépondreSupprimerJe suis parcourue de frissons en découvrant ta page Véro ... une splendeur ces grafs si vivants , ces artistes ont un tel talent .. pourquoi ne pas préserver ces oeuvres ? Ils retracent le labeur de nos mineurs par ces visages si réalistes et mettent de la vie à cette rue .
RépondreSupprimerLes corons s'éteigent peu à peu, certains sont rénovés et modernisés loin des originaux mais c'est une manière de sauvegarder notre patrimoine minier dont nous sommes si fiers nous les descendants de ces hommes et femmes .
Merci Véro de cet hommage . Douce soirée bien frisquette avec toute cette humidité ! Bises ch'tis! Nicole
Bonjour Véronique, le marché de Noël d'Arras est ouvert et surement celui de Béthune, c est ma fille qui me l'a dit, ils y vont chaque année, ils sont magnifiques.. une année nous étions là à cette époque, je te souhaite une bonne journée, je t'embrasse..
RépondreSupprimervite, je reviens vers toi. Me suis mal exprimé. Je pensais au parc explor Wendel. proche de Forbach. Et sa descente mimée en ascenseur. Tout vibre. Des amis m'en ont parlé.
RépondreSupprimerIls ont trouvé ça très intéressant.
Leur site internet pourra être plus înformatif que moi. Peut être même une ch'tite vidéo. On montre les procédés d'exploitation. Et là vie du mineur sur le carreau de mine.
Au Sud de chez moi, Mulhouse, c'était la potasse. 800 m de profondeur pour les galeries.
maintenant on songe y placer des déchets ultimes. polémiques.
Un illustrateur alsacien a apposé le motif de la cigogne sur les sacs en toile de jute.
Hansi se nomme. Tu tapotes ce nom dans la partie recherche de mon blog, tu verras les assiettes que j'ai achetées. Publicité.
Bon dimanche à toi. ✓ Yann
Bonjour Veronique et Profite bien de ces moments avec ta fille,des joies qui nous boostent.. je t'embrasse et pleins de pensées en ce 1er jour de l'Avent...
RépondreSupprimerBonsoir Christiane,
RépondreSupprimerUn vibrant article qui m'a beaucoup touché, qui rend un bel hommage, à ces "Corons, mineurs de fonds". Dont la mémoire des pierres se souvient encore et où la chanson phare de Pierre Bachelet, à porté haut son étendard !
C'était l'apogée et la fin du charbon, au milieu d'un peuple, d'une nation.
C'était le temps des luttes ouvrières, des combats, de la résistance des mineurs pendant l'occupation allemande et après la libération, la défense des charbonnages de France, propriété de l'Etat.
J'ai bien sûr, le roman et le film "Germinal", en ma mémoire, en lisant ton article Véronique.
Un magnifique hommage, rendu par ces graffeurs, en leurs peintures "street Art", que j'aime beaucoup ! Il y a des artistes de talents !
Il me semble que ce projet de requalification, sera de faire de nouveaux logements, après avoir rasé la cité minière ? Je me trompe peut-être Véronique, mais quel honte, comme si on pouvait effacer la vie des mineurs, de leurs familles, de leurs luttes et combats journaliers et dont la terre, le sol, les pierres, portent leurs empreintes éternelles ?
Tout cela, pour ramener du profit, au nom de la cupidité, faire venir des habitants, qui logeront, sur la terre des mineurs, sans respecter ce qu'elle fut. Franchement je suis scandalisée !
Dans d'autres cités minières, les logements sont réhabilités, sans perdre la mémoire des mineurs, et souvent, la famille de ces mineurs sont relogées...
Dans ma région, se sont des cités fluviales, marinières (dont je suis petite fille de descendants) où l'on transportait le charbon sur les péniches. Ces cités, ont été achetées par de nouveaux locataires, mais la maison, en elle-même, reste identique dans l'état. J'ai des souvenirs merveilleux avec mes grands-parents...
J'espère, que la mémoire de cette terre, sera honorée par ce projet, qu'on ne salira pas "les corons" en y mettant n'importe qui et n'importe quoi. Car ce monde d'aujourd'hui ne respecte plus rien !
Merci Véronique, cet article m'a beaucoup touché et émue.
Ma rose d'amitié, prends bien soin de toi. Ici en Lorraine, l'hiver s'est installé avec son froid, mais je suis fille de l'hiver et j'aime cette saison !
Je t'embrasse affectueusement, ma rose d'amitié.
CorpsRimes
Une petite pensée Véronique....
RépondreSupprimerQuel bel hommage ! c'est touchant. Il y a vraiment des artistes talentueux ; ces fresques sont magnifiques. Merci d'avoir partagé toutes ces photos ainsi que tes souvenirs. Bonne soirée.
RépondreSupprimerMerci pour ta visite à Saint-Paul Hors les Murs de Rome.
RépondreSupprimerEt tu rebondis sur les roches translucides.
Le marbre à Lille ND de la treille du nom d'une statue miraculeuse.
Internet me donne une vue de l'intérieur. Mais sûrement que tu feras mieux.
Je saurai attendre. Je vais de ce pas faire un dossier pour me rappeler cette cathédrale très récente. Lille Tourcoing, ma fait souvenir de mon Grand Père qui faisait partie des « enfants de Neptune ». Je viens de vérifier, ça semble toujours d'actualité.
Ta photo de bannière laisse augurer un article autour des festivités de Noël. Ou autre sujet surprise.
Et dans le domaine des accidents de la mine, j'avais en tête une catastrophe énorme. 1099 victimes. Entre Courrières et Lens. À plus, et je note que pour la conversion de Paul, j'étais presque le seul à ne pas savoir .... Il m'aura fallu un voyage à Rome. ✅ Yann
Bonsoir Véronique, merci de tous tes ptits mots, oui nous sômmes de la méme genération, gamine j'allaisa l'ecole Ste Therese à Lens, a cette époque seule cette ecome dans le coin avzit garderie le matin, cantine et le soir l'etude et comme mes parents travaillaient tot pour le marché, on me deposait à la garderie tot, j ai souvenir du jeudi ou il n y avait pas d'ecole puis cela a été mercredi, on deballait dans la montée a Lievin ou il y avait une maternité en haut, si tu allais au marché de Lievin gamine j y etais😉mes parents deballaient un grand barnum de chaussure, des casiers en bois, on enveloppait avec du papier journal.. la place gambetta etait de graviers rouges, que de souvenirs, je te souhaite une bonne nuit, je t'embrasse🤲🕊️🌛⭐❤️
RépondreSupprimerIls sont très beaux ces visages de mineurs, les jeunes comme les vieux, et ce petit bonhomme vert qui a l'air triste !
RépondreSupprimerNe jamais oublier tous ceux là qui ont fondé une famille à mains nues !
Merci Véronique pour tes mots, Bon weekend, je t'embrasse🤲😘🎄❤️
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