La plus grande des séductions, c'est peut-être d'être aimé ! Laure d'Abrantès.
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De cette femme on devine un langage,
De son être, différents messages.
Silencieux et pourtant si subtils,
Mystèrieux, vous invitant à l'idylle.
Femme séductrice, un brin provocatrice.
Mais au fond ce n'est qu'un jeu d'actrice,
Une façon de marcher encore plus séduisante,
Une manière de sourire tout aussi craquante.
Toutes ces choses qui semblent si superficielles
Sont pourtant pour elle toutes naturelles,
Il n'y a pas d'artifices comme vous l'imaginez,
Mais juste une vie qui devient son secret.
Elle ne sait pas se battre ni utiliser d'arme.
Elle a pour seul moyen son regard révolver.
L'homme, grâce à de belles paroles sait sécher des larmes.
La femme n'a pour défense qu'une part de mystère.
Elle pense de belles choses, se risque à les exprimer.
Ce n'est pas du cinéma, juste de la sincérité.
La vie réelle revient la chercher, s'endort alors la séductrice.
Un moment elle a rêvé, ce fut un doux délice!
(Novembre 2010)
De son être, différents messages.
Silencieux et pourtant si subtils,
Mystèrieux, vous invitant à l'idylle.
Femme séductrice, un brin provocatrice.
Mais au fond ce n'est qu'un jeu d'actrice,
Une façon de marcher encore plus séduisante,
Une manière de sourire tout aussi craquante.
Toutes ces choses qui semblent si superficielles
Sont pourtant pour elle toutes naturelles,
Il n'y a pas d'artifices comme vous l'imaginez,
Mais juste une vie qui devient son secret.
Elle ne sait pas se battre ni utiliser d'arme.
Elle a pour seul moyen son regard révolver.
L'homme, grâce à de belles paroles sait sécher des larmes.
La femme n'a pour défense qu'une part de mystère.
Elle pense de belles choses, se risque à les exprimer.
Ce n'est pas du cinéma, juste de la sincérité.
La vie réelle revient la chercher, s'endort alors la séductrice.
Un moment elle a rêvé, ce fut un doux délice!
(Novembre 2010)
guy Il y a 4 ans
RépondreSupprimerO CHABADA
te diré pa mes fantasmes
sinon
que l'age émousse
et parfois le fantome d'une hier
revient en catimimimi dans la nuit
et je frémis
sa frimousse, son parfum de patchouli, elle me dit au creux de l'oreille
c'est moi
et ébahi de naissance devant tout signe d'amour,
je lui dis : mé ki cé toi?
ELLE RI
cé presque gagné
je ressors mon arme seconde , j'en ai trois
donc
je lui redis :
cé toi mon irma mon vieil amour jamais oublié
ELLE ReFLECHIT
je sens qu'elle fléchit
les femmes adorent le mystère
alors je sors mon arme secrète :
je t'aime a en mourir
et ne partiré pas sans toi
LA PETIOTE EN BOURKA DE FANTOME D'OPERA
pousse alors un cri en farésol la si do, et d'un mouvemenr enthousiaste
la salle applaudit!
ET AINSI FUSIONNEnt LE FANTOME DU FANTASME, ET LE FANTASME DU FANTOME
fantasmatique diré luchini fafrice
***
:0091: :0010: :0085: Il y a 4 ans
elle ne sait pas se battre.....hello....si tu savais...et proprement en plus....et je tue d'un regard ...j'enterre les cadavres....ceux là ne ressusciteront pas.....oh non... !!!! très bonne
soirée...je sens que tu vas mieux et en suis bien...heureuse... ! temps du pluie par ici aujourd'hui...mais bon... ce n'est toujours pas la neige qu'ils avaient prévue...et heureusement.... !!!
***
TititeParisienne Il y a 4 ans
Bonjour Véronique ; Tes textes sont toujours aussi beaux ! c'est vrai qu'une femme qui se sait aimée se sent belle ... Passe une bonne journée, gros bisous de Véronique.
***